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17/08/2014

Saveurs d'été, entre Feel Good Brunch et Cuisine naturelle

L'été à Paris ce n'est pas toujours drôle, surtout quand le temps est maussade. Mais lorsque l'on est à la maison au moment où mûrissent fruits et légumes, c'est aussi l'occasion de bien se nourrir. On cuisine, on prépare des confitures et des compotes. Et on essaie de nouveaux plats. Préparés par soi-même ou d'autres. Deux pistes que je voulais partager ici.


Feel good brunch d'été, l'autre façon de pique-niquer. Entre deux tests de restaurants savoureux, j'ai participé le dimanche 3 août au Feel Good Brunch d'été, organisé par Vanessa et Julien. J'ai ainsi goûté à un gâteau au chocolat à la courgette, dont j'ai hâte d'essayer la recette, comme celle des perles de lentilles corail. J'ai également lapé un smoothie vert nettement plus convaincant que les miens... Ce qui honnêtement n'est pas très difficile. Les soupes et la salades, j'adore en inventer de nouvelles, mais les smoothies verts je suis moins fan. Je préfère les smoothies rouges ou violets, comme ceux que j'ai concoctés cet été en mélangeant des cerises congelées à du tofu soyeux. Miam!





Cuisine naturelle... et imaginative. La profusion d'ingrédients frais aidant, j'ai également expérimenté sur le salé. Et l'une de mes nouvelles sources a été le magazine Cuisine naturelle. Plus tôt dans l'été, j'avais découvert avec intérêt cette nouvelle publication des éditeurs du regretté Biomood, que j'avais évoqué ici à plusieurs reprises. Le numéro 1 de Cuisine naturelle regorge d'idées astucieuses et savoureuses, comme les 10 variations autour de l'aubergine. J'ai également appris quelques bricoles utiles dans l'article 20 aliments à avoir toujours sous la main et après avoir lu l'enquête mais où sont passées les tomates, je porte un regard encore plus méfiant sur les étals des marchés. Heureusement que celles de mon potager -d'origine contrôlée- mûrissent doucement.

09/07/2014

Dans l'antre de Kaïla, pirate et « cosméteuse » itinérante


Le samedi 5 juillet, j'ai fait un petit tour par le Krenchtown Festival à Villecresnes, pour promouvoir les Colibris 94 et les Incroyables Comestibles du Val de Marne. Sur le site, s'était posé une horde d'artistes « pirates » itinérants, qui entre fonderie et maniement du sabre, proposent des échanges de savoir et ateliers ludiques pour petits et grands. C'est évidemment dans la tente de Kaïla, qui enseigne comment fabriquer ses produits cosmétiques, que j'ai choisi de me glisser.



La chasse aux ingrédients. Dans un grand coffre en bois, qui pourrait venir du pillage d'un vaisseau royal de l'époque de la flibuste, Kaïla extrait ses ingrédients. Sur la route pas de frigo, il faut faire avec les conditions ambiantes pour la conservations des ingrédients. Grâce au troc, la « sorcière » de la horde -ainsi que la surnomment affectueusement ses compagnons de voyage- possède notamment une très jolie collection d'huiles essentielles et a récolté un énorme bloc de cire d'abeille auprès d'un apiculteur. Elle prépare elle-même ses macéras et tout autour de sa tente, sont disposés de petits pots contenant les plantes qui suivent la jeune créatrice dans ses tribulations.


Dentifrice à la menthe. Se basant sur une recette consignée à la plume dans son grimoire, Kaïla explique à une jeune femme comment fabriquer son propre dentifrice en réalisant une pâte à base d'argile verte, avec des huiles essentielles de clou de girofle et menthe. Plus loin, un couple découvre les secrets du baume du tigre et Kaïla explique à une autre aspirante un peu dépitée, que pour fabriquer une crème solaire vraiment filtrante, il faut mettre des ingrédients... pas vraiment naturels. Elle ajoute que l'exposition excessive au soleil n'est pas non plus naturel et je rie sous cape... Parce que c'est à peu près ce que j'aurais répondu si quelqu'un m'avait posé la question dans un atelier.






Cosmétique nomade et sédentaire. Si Kaïla donne des conseils à ses visiteuses pour éviter le développement bactériologique dans leur produits faits main, les conditions de fabrication sont moins aseptisées que dans une habitation moderne. La source des ingrédients est forcément plus aléatoire pour une nomade comme elle que pour moi, qui suit toujours à quelques clics d'un renouvellement de stock. Mais pourtant, la pratique de Kaïla et surtout sa philosophie se rejoignent avec la mienne, avec une envie de simplicité et de naturel.


02/02/2014

Quand ma cosmétodéco&co tague les Vergers... (épisode 2)

Ainsi que je l'expliquais dans le billet précédent, j'ai été taguée par Anne de ma cosmétodéco&co sur les liebster blog awards. Le jeu consiste à répondre aux 11 questions posées par la tagueuse, à révéler 11 anecdotes sur mon blog et moi, puis à taguer 11 nouvelles blogueuses et à leur poser Je suis très bavarde, j'ai donc répondu aux questions d'Anne dans un premier épisode. Au menu du second, les anecdotes, la liste des taguées et les questions que je leur pose. Et hop, c'est parti!


1. Pseudo. J'utilise le pseudo d'Atalanta depuis des années sur le web. J'ai choisi cette héroïne de la mythologie grecque, parce que j'aime son côté sauvage et que sa dimension athlétique est un clin d'oeil à l'univers du sport de haut niveau, où je professionnellement impliquée depuis très longtemps.

2. Ecrire. L'écriture est une seconde nature chez moi et tant qu'à écrire, autant le partager. C'est pour cela que je suis d'abord devenue journaliste, puis journaliste et blogueuse à l'ère digitale.

3. Storyteller. J'aime écrire d'une façon générale, mais plus particulièrement raconter de belles histoires. Petite, j'en inventais de toutes sortes et il m'arrivait de les coucher sur papier. Il y a quelques années, j'ai commencé à élaborer des fictions et je pense très prochainement publier un petit ebook destinée aux pré-adolescentes (scoop, scoop !!).



4. DIY. Quand je ne blogue pas et que je n'écris pas de fiction, j'aime bien faire fonctionner mes mimines à des fins créatives. Et parfois allier les deux. Je fabrique des bijoux depuis quelques années et j'ai même tenu un blog qui alliait ma petite fabrique à une fiction sur le thème de l'Atlantide, l'une de mes marottes. J'espère bientôt la reprendre et raconter la suite.


5. 1.0. J'ai commencé à écrire à une époque où la toile n'était même pas un projet et pour moi comme pour beaucoup de dinosaures de ma génération, s'adapter aux contraintes techniques n'a pas été une mince affaire. Aujourd'hui encore, il m'arrive de maudire le HTML et autres dialectes barbares. Mais si on m'avait dit il y 20 ans ce que je ferais en 2014 j'aurais éclaté de rire.. avant de partir enfiler des perles de coco dans les Caraïbes.

6. e-Mamie. Le mois dernier, j'ai réussi à relooker mon blog (presque) toute seule comme une grande (merci pour les conseils judicieux Ellen). Mais le template précédent avait été installé par une (très jeune) consoeur, qui m'appelle Mamie-Cé quand on va croquer une tarte bio ensemble. Ces jours-là, il est rare qu'il n'y ait pas un relou pour me prendre pour sa mère. Et... non AD, je ne pars pas au Club Med avec toi cet été, pas la peine d'insister.


7. Blogo-copines. Mon blog m'a permis des échanges très enrichissants avec des lecteurs, lectrices et d'autres blogueuses, mais également de faire des rencontres dans la vie réelle... J'en connais qui vont être taguées d'ailleurs, même si elles ne le savent pas encore !

8. SOS Séries addicts. J'ai choisi le blog alternatif et écologique, mais j'aurais pu pencher vers le blog séries parce que je suis complètement accroc. En ce moment, mon gros coup de coeur c'est Continuum, dont la saison 2 s'achève bientôt sur Syfy. Mais je piaffe d'impatience en attendant la suite de Revolution et je n'aurais pour rien au monde loupé un épisode de Nashville.


9. No Green washing. Je ne suis pas parfaite, mais j'adopte de plus en plus le mode de vie respectueux de la planète que je partage sur les Vergers. Je fabrique beaucoup de mes produits cosmétiques et je partage les techniques en organisant des ateliers. Je cultive un petit potager dans mon jardinet, je composte, je trie mes déchets et je préfère le bio à chaque fois que c'est possible.


10. Chocaholic. Le chocolat est ma drogue de prédilection. Encore plus encore que les séries. En carrés, liquides, prâlines, gâteaux, je craque pour le cacao sous toutes ses formes

11. Canicule. Ma température favorite se situe entre 35°C et 40°C. Autant dire que le climat parisien et sa grisaille frissonnante.... Bof.


Je taque à mon tour
Ophélie de Feedback baby
Céline de Dokuji
Isabelle d'écolo-bio-nature
Jenny, du jardin de Jenny
Ladilafeandco
A goth tale
Mary, de Color Moon
Dood, de Sweetdood

Et voici mes questions, pas systématiquement sous forme de questions d'ailleurs, mais il faut savoir innover.
L'idée d'ouvrir un blog est venue de...
Si le web n'existais pas, à quoi ressemblerait ta vie ?
L'interview dont tu rêves...
Petite, tu voulais ressembler à...
Tu ne l'admettras jamais publiquement, mais tu lui chiperais bien sa place pour quelques jours...
Une ville, un pays où tu pourrais vivre (pas celle ou celui où tu te trouves actuellement)
Le dernier film qui t'a fait pleurer
Celui que tu pourrais regarder en boucle
Le livre que tu aurais aimé écrire
Le tri des déchets c'est...
Mission kamikaze, tu dois remplacer François Hollande pour une journée, quel est ton programme?

30/01/2014

Quand ma cosmétodéco&co tague les Vergers (épisode 1)

Il y a une quinzaine de jours, j'avais la chance de faire connaissance avec Anne, blogueuse et savonneuse de talent de ma cosmétodéco&co, qui m'a guidée dans ma première fabrication de savons. Du coup la semaine dernière, elle m'a taguée dans la chaîne des Liebster blog award. Un petit clin d'oeil plutôt sympa entre blogueuses qui consiste à :
-Répondre aux 11 questions posées par la tagueuse
-Révéler 11 anecdotes sur soi-même et son blog.
-Enfin (le meilleur moment), taguer à son tour 11 blogueuses.


Comme je suis plutôt bavarde, mes réponses et mes anecdotes dépassent largement la monosyllabe. J'ai donc scindé en deux épisodes : dans le premier, je réponds aux questions d'Anne et le second me permettra de dévoiler les onze anecdotes et les onze taguées. C'est parti!!!


Pourquoi as-tu crée ce blog ?
Les Vergers d'Atalanta sont nés en décembre 2011. L'émergence des initiatives citoyennes et de modes de vie alternatifs m'ont donné envie de les relayer et de partager mon mode de vie.

Quel est ton ingrédient cosmétique préféré et pour quelles raisons ?
Entre la poudre de framboise et moi, c'est un peu une relation amour-haine. J'adore sa couleur rose glamour et ses effets antioxydants, mais à chaque fois qu'elle se transforme en caillou dans mon frigo avant que j'ai pu en utiliser la moitié, je jure qu'on ne m'y reprendra plus. Jusqu'à la prochaine commande...

Pourquoi as-tu choisi la profession que tu exerces actuellement?
Parce que j'adore écrire et qu'être journaliste me permet de rencontrer des gens qui excellent dans leur domaine et accomplissent des choses remarquables.

Quelles sont tes passions ?
La création sous toutes ses formes, les grands espaces du continent américain et de l'Australie, les séries TV, le yoga, faire pousser tout ce qui se mange.

Quel est le voyage que tu as fait et préféré, pourquoi ?
Ma première incursion de l'autre côté du rideau de fer. C'était à Moscou, en 1984, Gorbatchev n'était pas encore au pouvoir. Un choc énorme pour la petite occidentale gâtée de que j'étais, mais inoubliable.

Quelle est la plus grosse bêtise que tu aies faite dans ton enfance et dont tu es trèèès fière (ou pas) ?
J'ai interrompu le guide lors d'une visite organisée du château de Gros-Bois pour interpeller tout haut mes parents : « vous n'allez quand même pas acheter ce vieux truc ? ». A ma décharge, ils cherchaient une maison et on visitait beaucoup le week-end.

Quel est ton plat préféré ?
Les moules marinières... Miam !

Quel est ton livre préféré et pourquoi ?
Les hauts de Hurlevent d'Emily Brontë. Comment une jeune femme quasi recluse a pu imaginer quelque chose d'aussi puissant et extrême, demeure un sublime mystère pour moi.

Quel est ton film préféré et pourquoi ?
2001 l'Odyssée de l'espace. J'avais douze ans, j'ai plongé dans l'univers cosmique de la SF et je n'en suis jamais ressortie.

Quelle est ta chanson favorite ?
Nathalie de Gilbert Bécaud, la séquence nostalgie de mes affinités avec la culture slave.

Comment te décrirais-tu en UN seul mot ?
Imaginative.

08/12/2013

Mini album souvenir de la Dokuji Christmas party



C'était ce week-end à la cartonnerie. 
Il y avait de jolis bijoux d'artisanat français, des vêtements originaux et bien de chez nous, des ateliers qui ont dégourdi mes "mimines" avec notamment Ellen des fleurs rebelles aux manettes de la fabrication des emballages cadeaux. Et il y avait aussi de délicieux Cupcakes qui ont ravi mes papilles et des rencontres trop sympa. 
Cette première édition de la Dokuji Christmas Party valait bien un petit album souvenir.





11/11/2013

Balade en images à la fête des échanges

Dimanche dans le XXème arrondissement, la fête des échanges proposait alternatives et partages dans une ambiance détendue. Organisée par l'association Coud à Coud, cette première édition du Système Day a attiré du monde en dépit du froid, entre stands de gratuité, ateliers créatifs et produits faits maison, le tout en musique avec la traditionnelle disco soup. Retour en images sur une initiative qui s'inscrit dans la même dynamique que la OuiShare Fest et le Festival des Utopies Concrètes. Retour sur images.

 Une monnaie locale, juste pour un jour et un lieu. T'a pas 100 rien?
Atelier création pour les petits, qui apprendront partage et échange dès leur plus jeune âge
Pour mieux comprendre la nouvelle économie, et si on commençait par y jouer! 
Au matin de la fête des échanges, les restes du marché ont fourni une matière abondante pour la disco soupe. Soupe une salade de fruits à volonté et c'est un peu plus d'abondance et un peu moins de gaspillage pour un cercle vertueux. 

27/10/2013

Comment fêter Halloween (Samhain) sans éco-culpabiliser ?

Il était une fois Halloween, fête commerciale exportée par nos amis Etats-Uniens, contribuant grandement à la prospérité des fabricants de costumes, de friandises et... des dentistes qui soignent les caries des «zenfants» quelques mois plus tard....
Nooooon c'est le mauvais disque. On reprend tout. Il était une fois Samhain, festival celtique, célébré en Europe durant l'ère pré-chrétienne par nos chers ancêtres pour justement honorer les leurs. Et qui renaît depuis quelques décennies avec le mouvement néo-païen, dont les coutumes sont assez éloignées du grand carnaval d'Halloween à l'américaine.



Si vous hésitez encore, que vous refusez de sacrifier à la danse des marchands du temple, mais qu'en cette période un peu tristoune, vous avez quand même bien envie de vous laisser entraîner dans l'élan festif des sorcières et citrouilles, voici quelques pistes pour s'amuser sans gâcher.

A vos ciseaux et stylos. Pour se mettre dans l'ambiance Halloween, la première étape est généralement de repeindre la maison en orange... Enfin de décorer son intérieur avec plein de citrouilles. C'est évidemment plus facile d'acheter tout fait, mais plus amusant, économique et écologique de fabriquer soi-même, de préférence avec des matos de récup. Si l'inspiration manque le tableau de Jenny Lyon sur Pinterest est une mine, et celui d'ecoParty time n'est pas mal non plus.



Quand l'habit fait la sorcière... Ou le vampire, le fantôme, l'araignée, la Lady Gaga... Tous les coups sont permis pour Halloween. Mais pas question d'acheter un déguisement, alors que l'on peut se débrouiller avec un peu d'astuce et ce qu'on a sous la main. Là encore, on trouve tout sur Pinterest, à condition de savoir chercher et ce tableau Planetpals devrait donner quelques options aux sceptiques.

Quand il n'y a plus de citrouille, il y en a encore. Découper une citrouille pour la transformer en lanterne, c'est tentant. Mais que vous décidiez ou non de jouer les sculpteurs d'un jour, la citrouille, c'est avant tout bon dans l'assiette, en soupe et même pour le dessert en tarte. Une fois le repas dévoré, les restes sont évidemment pour le compost et non la poubelle. Pensez à extraire les graines auparavant. Si vous avez un bout de terre ou un grand bac sur votre balcon, vous pourrez les planter et peut-être récolter vos propres citrouilles l'an prochain. Pour boucler la boucle.

10/05/2013

Opération Hello Sunshine : des fleurs rebelles dans les vergers


Coucher de soleil printanier à Miami Beach

Je ne sais pas si je l'avais exprimé assez clairement lors de la précédente mais j'adore les opérations bonne humeur d'Ellen, la blogueuse souriante et astucieuse des Fleurs rebelles. Mars fut le mois du rose et des paillettes avec l'opération Licorne. Mai sera celui du retour du soleil et du ciel bleu, non seulement sur nos blogs, mais dans la vie réelle. Oui, on y croit, alors allons-y pour l'opération sunshine, à laquelle je participe avec autant d'enthousiasme que j'avais organisé mon premier concours en l'honneur de la licorne.

Coco Beach





Les manteaux sont rangés, les bottes aussi, interdiction de sortie jusqu'à octobre 2013 pour avoir (largement) violé le couvre-feu tacite : février avec une tolérance jusqu'à la mi-mars. Les bonnets et autres écharpes sont également consignés dans la cave. Le moment est venu de gambader dans les vergers en tongs et micro shorts. Les lunettes de soleil ont été nettoyées. Les crèmes filtrant les rayons solaires (faites maison évidemment) sont sorties des armoires, alors que le potager qui jouxte les vergers s'apprête à s'épanouir.

Collection Atalantide

Une brise d'inspiration estivale m'a permis de vous fabriquer hier deux modèles de boucles d'oreillesqui seront le lot de cette "opé Sunshine" sur les vergers : pour l'humeur "sunny girly", le modèle Coco beach et pour les envies de mer turquoise, j'ai pioché un de mes modèles préférés dans ma collection Atalantide. Pour participer au concours qui dure jusqu'au 2 juin, laissez-moi un message ici avec un moyen de vous contacter et suivez les Vergers d'Atalanta (si ce n'est pas déjà le cas) sur Hello Coton, aimez la page facebook du blog., ou abonnez-vous sur Blogger. Bonne chance à toutes et  place au soleil et ciel azur

17/03/2013

L'opération Licorne arrive sur les vergers


Pour apporter ma contribution à l'opération Licorne lancée par Ellen sur les Fleurs Rebelles (et aussi parce que j'en ai bien besoin), je me suis décidée à organiser mon premier concours sur ce blog.

Clin d'oeil à Ellen, qui a eu la générosité de m'offrir son four et tout son matériel Fimo, une partie du lot sera constituée par un petit porte-clefs en forme de cœur rose pailleté en fimo et perles. Fabrication maison évidemment. Il est accompagné d'un petit flacon rose déco, DIY également. Puis un pinceau à maquillage de sac à main argenté et enfin pour la touche verte qui colle aux Vergers d'Atalanta, j'offre deux petits sachets de graines : 20 poivrons bio et 10 tomates bio Kokopelli de ma propre production 2012. Le parfait kit de démarrage pour toutes celles qui ont envie de se lancer dans les cultures avec l'arrivée du printemps, même en jardinières sur un balcon ou un rebord de fenêtre.

Pour participer, il faut évidemment être abonnée aux Vergers d'Atalanta sur Hello Coton, membre du blog sur google ou liker la page facebook. Il faut également laisser un commentaire sur ce billet et s'y déclarer participante, avec un email valide dans le formulaire, en cas de gain. L'opération Licorne dure jusqu'au 31 mars 2013.

13/01/2013

C'est décidé, je demande mon passeport Islandais


Je ne suis pas milliardaire ni même millionnaire, même si je trouve l'addition salée quand je reçois ma feuille d'impôts. Je ne m'appelle pas Gérard et je serais d'ailleurs bien incapable de jouer du piano comme lui dans l'inoubliable séquence de Green card (à l'époque où il cherchait à devenir résident américain et non pas ressortissant russe).

Mais quand je découvre le cheminement des Islandais, je me dis que ma foi, même si je me sens très très Française, que je n'abandonnerais pour rien au monde mon passeport de Gauloise, mon goût immodéré pour le fromage de brebis et mon absence totale de de compassion pour l'hypocrisie pudibonde de mes grands amis américains, je me sens de plus en plus une âme du Grand Nord. Si l'Islande m'offrait un "jouli" passeport je me laisserais peut-être tenter par la double nationalité. Sauf si évidemment, on décidait tous en France de se simplifier la vie en adoptant leur philosophie : Cinq raisons de plagier les Islandais et pas de copyright qui tienne.




Ils ont mis les "banksters" en prison. Avant 2008, le niveau de vie de l'Islandais était très élevé, mais la crise a mis le glaçon européen à genoux. Mais contrairement à la plupart des grandes démocraties, qui ont laissé le pouvoir aux marchés qui les avaient menés à la ruine, les Islandais ont demandé des comptes à leurs banquiers. D'eux d'entre eux ont d'ailleurs récemment été condamnés à un petit séjour en prison.

Ils ont donné les clés du camion aux citoyens... Notamment à travers le référendum qui a permis aux Islandais de se prononcer pour une nouvelle constitution.

Ils rendent le contrôle des ressources naturelles au peuple, ainsi que la nouvelle constitution l'a justement prévu.



Ils permettent aux femmes d'occuper le devant de la scène. Thora Arnorsdottir, une journaliste de 37 ans enceinte, s'est portée candidate à la présidence en juin 2012 et si elle n'a pas été élue, elle a obtenu 33% des voix.  Le premier ministre est une femme ouvertement lesbienne, Johanna Sigurdardottir et l'église islandaise a ordonné une femme archevêque au printemps dernier.

Ils contemplent des merveilles naturelles au quotidien. OK, leur politique économique et sociale n'y est strictement pour rien, mais tout de même, ça compte de pouvoir d'admirer les beautés de la nature. Surtout lorsque la température ne passe qu'exceptionnellement au dessus de 0°C. Allez, c'est décidé, je prends mon billet et je profite des soldes pour m'acheter des bottes fourrées.

(Crédit photo: Fechi CC; Richard Jones)

12/12/2012

Shopping de Noël à Miami (2ème virée)


Les petits pieds sont bien reposés? La carte bleue a eu le temps de refroidir? Prêtes pour la 2ème virée? Et hop, c'est parti!



Swap shop. Ce n'est pas à Miami même mais à Fort Lauderdale, un peu plus au nord. Mais même pour les allergiques à la conduite comme toi Carole, je suis certaine qu'il y a des navettes de prévues vers ce repaire des marchands du temple. Le Swap shop c'est une sorte de marché aux puces où il y a un peu de tout et pas grand chose de rien. Quelques antiquités (à l'Américaine, n'espérez pas dégoter une cafetière ayant appartenu à Hemingway) et de très longues allées où se succèdent les échoppes hétéroclites, montres, fringues à gogo, parfums, bijoux et enfin un Farmers Market géant pour les petites et grandes faims. Assez touristique mais les locaux y viennent quand même de temps à autre renifler la bonne affaire.

Et n'oublions surtout pas les valeurs sûres, les enseignes qui se retrouvent dans tout le pays et sont parfois communes avec New-York. Ross Dress for less, le meilleur rapport qualité prix, et TJ Maxx pour les marques un peu plus chics, qui se trouvent tous deux dans le nouveau centre commercial d'Alton Road. Un peu plus haut nord, pour un échantillon de luxe, Loehmanns à Loehmann's plaza près de l'Aventura Mall (vaut une visite, mais cher en encombré) attend de faire tourner vos têtes de Fashion victims. Et on peut en plus faire une petite pause bouquins en sirotant un bon café Starbuck chez Barnes and Nobles (FNAC à l'américaine avec Starbuck inclus).

Enfin, quand l'excédent de bagages menace, il reste les curiosités purement touristiques. Ocean Drive et ses célébrissimes bâtiments art-déco, qui bordent la non moins mythique plage de sable blanc. Le majestueux Biscaya et ses pieds dans l'eau, mais encore plus le splendide hôtel Biltmore, sa piscine hollywoodienne au bord de laquelle il fait bon de siroter un thé en rêvassant à la vie avant la crise... de 29, soit trois ans après que l'hôtel ait ouvert ses portes. Non loin du Biltmore, se trouve Venetian pool, autre attraction de Coral Gables, qui permet de combiner tourisme « culturel » et farniente. Pour s'imaginer quelques heures avec les écailles d'une sirène hollywoodienne.

Crédit photo: www.coralgables.com, www.biltmorehotel.com/

09/12/2012

Shopping de Noël à Miami (1ère virée)


En août, j'avais fait un petit dossier shopping en deux volets sur ce blog pour une coupine journaliste qui partait à New-York. Comme c'est une globe trotteuse dans l'âme, la voici en train de boucler ses valises pour une pause en Floride avant les fêtes. Et comme je connais Miami encore mieux que New-York et que je me suis dit que les bonnes adresses de la cité de Deux flics à Miami pouvaient intéresser la communauté, voici quelques bons plan shopping Noël bonnes affaires chez les flamands. Prêtes à faire chauffer la carte de crédit ? C'est parti.

Bayside. Un centre commercial en plein air, qui caresse les flots de l'Atlantique, c'est déjà en soi un paradis touristique. On circule dans les galeries entre les boutiques plus ou moins touristiques, les enseignes nationales ou certaines carrément excentrique. Quand les sacs sont pleins, on peut humer l'embrun sur l'eau, puisque Bayside est l'un des points d'où partent les croisières dans la baie.

Lincoln Road, Là je vais être honnête, Lincoln Road, la principale rue piétonne de South Beach, c'est surtout pour lécher les vitrines, zyeuter le contenu des assiettes des divers restaurants pour choisir le meilleur rapport qualité prix et admirer le spectacle de rue : des touristes aux Canadiens fuyant la neige en passant par les très riches Américaines sur-liftées et sur-bronzées, ou les roller bladers en micro short (boys and girls), parfois organisés en traîneau avec un ou deux gros toutous en laisse. A ne pas manquer, le marché aux « antiquités » un dimanche sur deux, petits stands individuels variés avec une touche farmers market bien commode. Et enfin, une petite visite s'impose dans l'une des seules boutiques abordables de la rue : Rainbow, une chaîne de vêtements comparable à H&M, qui se trouve à quelques blocs de la mer. Au bout de deux heures de marche épuisante, il est recommandé de s'arrêter aux pour se faire un bon brunch à l'Américaine au Van Dyke Cafe (mes coupines qui habitent là bas, parlent des gauffres avec des sanglots dans la voix).

Dans le prochain volet, le swap shop, les enseignes traditionnelles et un peu de tourisme quand la carte bleue criera grâce.

Crédit photo: lincolnroad.org

21/10/2012

J'ai pris l'avion aux Etats-Unis et j'ai survécu




Il fut une époque où le transport aérien sur le continent nord-américain était déconcertant de simplicité et de facilité d'utilisation. On passait d'un avion à l'autre en traversant des couloirs, comme on change de ligne de métro à Paris. On avait à peine franchi les formalités de sécurité (sans enlever ses chaussures, jeter sa provision d'eau minérale dans une poubelle et offrir son coupe-ongle à un officier de sécurité) que l'on embarquait déjà et que l'oiseau argenté décollait en hâte pour laisser la place au suivant. Et surtout, surtout, on pouvait rapporter l'intégrale des éditions originales d'Edith Wharton dans ses valises à sa vieille tante, sans risquer la sentence fatale d'une « hôtesse » de sol aussi ouverte à la négociation qu'un ex-agent du KGB.


Mais tout ceci appartient à un passé que beaucoup situent avant le fatal 11 septembre 2001. Psychose ou prétexte, les relations entre les compagnies aériennes et leurs passagers tiennent désormais plus de celles entre les pensionnaires d'un strict établissement scolaire et  son corps enseignant que celles entre clients et fournisseurs. « Vous avez 6 kilos de trop, retirez-les ou payez 100$ », m'a ainsi annoncé une hôtesse de sol à la mine patibulaire, alors que je m'apprêtais à traverser le pays d'ouest en sud-est, entre Reno et Miami sur les lignes de l'une des principales compagnies américaines. Sur le moment, j'ai tenté de chasser l'impression désagréable que je venais de tirer une mauvaise carte durant une partie de Monopoly, dans laquelle je sentais déjà que je ne construirais pas d'hôtels rue de la paix. Mais la vérité était que la menace du « racket » au kilo de trop n'était ni le premier ni le dernier désagrément auquel je devais être confrontée durant mon périple.


Je confesse, je ne sais pas voyager léger. Impossible de ne pas prévoir la tenue pour traîner dans l'appart le soir, celle pour le yoga, l'accumulation des pulls et écharpes pour faire face à la climatisation agressive du continent américain. Inenvisageable de quitter la base sans une provision raisonnable de boîtes de peinture, pastels, feuilles cartonnées, tubes de glitter et autres fournitures indispensables de la plus modeste des "srapbookeuses". Exclu de partir trois semaines avec un nombre d'heures faramineux à passer dans un tube métallique géant, à la merci d'une armée d'hôtesses diplômées à la Tatie Danielle Academy, sans une confortable provision de bouquins. Et non, je n'ai pas encore de kindle. Et oui, je songe sérieusement à l'achat d'une tablette. Celle-ci m'aurait d'ailleurs été bien utile, non seulement pour bouquiner, mais aussi pour regarder quelques films dans l'appareil d'un autre âge dans lequel j'ai passé presque 11 heures pour traverser l'Atlantique, où non seulement il n'y avait pas d'écrans individuels, mais le son ne fonctionnait pas sur mon siège. Nullement gênées par cette avarie, les hôtesses m'ont bien vite fait comprendre que non seulement elles n'y pouvaient rien, mais qu'en plus il n'y avait pas d'autre place équivalente dispo.



 Quelque part entre la patrie de JR Ewing (le tentaculaire aéroport de Dallas Fort Worth) où je n'a pas eu le loisir de m'arrêter et la destination floridienne que j'ai atteinte bien après l'heure décente d'un dîner que l'on ne m'avait évidemment pas servi à bord, j'ai échappé de justesse à devoir enregistrer le très modeste sac à dos qui me tenait lieu de bagages à main, avec mon ordinateur et la caméra vidéo confiée par mon journal. Raison invoquée : j'avais l'outrecuidance d'avoir un micro sac à dos (qui contenait une partie des 6kg excédentaires) en plus de mon sac à main. Pendant ce temps-là, des Américains s'engouffraient dans la cabine en traînant des valises presque de la taille de celles que j'avais mise en soute. Hé oui, parce que comme maintenant les compagnies américaines régulières font payer les bagages enregistrés, les passagers en gardent un max avec eux en cabine.

J'étais prête à clouer la compagnie en question au pilori, lorsqu'en en me présentant au comptoir d'enregistrement pour le Miami-Paris qui devait me ramener à la maison, je suis tombée sur une jeune femme charmante, qui m'a offert du scotch et des timbres pour emballer et renvoyer par la poste une clé que j'avais oublié de restituer à sa propriétaire. Mais peut-être avait-elle échappé au conditionnement de la Tatie Danielle Academy, parce qu'elle était de nationalité Haïtienne. En devisant avec elle en français, j'ai apprécié à leur juste valeur ces quelques grammes de gentillesse dans un univers de brutes.

15/08/2012

Shopping in New York, guide de la petite futée (volume 2)


Après Century 21 et Daffys, deux géants du bon plan typiquement New-Yorkais, voici , un petit coup de projo sur le H&M local et deux parenthèses sans shopping bag. Croquez dans la grosse pomme sans modération.

Strawberry. C'est un peu le HM New-Yorkais. On y trouve pour un prix généralement raisonnable de petites fringues mode et accessoires du même accabit. Ce n'est pas mon lieu de débauche favori, mais je suis quand même reconnaissante à chaque automne, lorsque j'enfile la veste longue en tricot gris très 1900 que j'ai achetée là bas. Et la bonne nouvelle est qu'il est très difficile d'écumer New-York sans tomber sur un Strawberry, parce qu'il y en a partout ou presque!

Wholefood, un peu de carburant dans le moteur de la shoppeuse. Ça ne fait pas de mal. Le géant de l'alimentation bio a pris Manhattan d'assaut depuis quelques années. Pour ne pas rompre avec la tradition new-yorkaise de commerce de quartier, Wholefood a ouvert cinq magasins sur l'île et où que vous soyez, il y en a forcément à portée de quelques pas courageux. Alors si vos sacs sont lourds et que vos pieds crient grâce, les rayons de Whole food vous attendent avec de savoureuses tentations. Il vaut mieux éviter le dimanche soir parce que les New-Yorkais s'y écrabouillent pour faire leurs courses de la semaine, mais autrement c'est le paradis. Salad bar, soup bar, avec un large choix d'ingrédients frais. On peut consommer sur place ou emporter. Une petite préférence pour le wholefood du mall de Columbus circle, parce qu'en cas de beau temps, il suffit de traverser la rue pour aller déguster son déjeuner au milieu des écureuils de Central Park.

Le pélerinage de la shoppeuse in the city. Personnellement je ne suis pas assez mordue, mais j'ai un pote "Sex and the city addict" qui est allé se recueillir devant le 66 Perry street sur le cèlèbre perron de Carrie Bradshaw, l'icône New-Yorkaise des shopping addicts. Ce perron même où elle s'est séparée, raccommodée et disputée à maintes reprises avec mister Big. Bien en a pris à mon pote que cette petite promenade, puisqu'en allant siroter une mousse dans le café voisin pour se remettre ses émotions, il a pu échanger quelques mots avec Liv Tyler (la vraie), habituée des lieux avec son petit Milo.La big Apple réserve parfois de chouettes surprises et pas seulement à travers un trésor déniché sur les étagères d'un grand magasin.

11/08/2012

Shopping in New York, guide de la petite futée (volume 1)


Il y a quelques jours, j'étais en train de préparer un petit email briefing pour partager mes meilleures adresses shopping low cost (et un peu tourisme s'il lui reste du temps) avec une copine qui va découvrir la Grosse Pomme dans quelques semaines. Et tout d'un coup, je me suis dit 'mais pourquoi pas en faire un billet sur mon blog? ça pourrait servir à d'autres voyageuses-shopping addicts vacancières'. Voilà donc quelques pistes issues de mes propres tribulations New-yorkaises, de 1995 à nos jours. Finalement j'ai été tellement bavarde qu'il y aura deux volumes. Elles n'ont pas de la chance mes copines? Allez, c'est parti.

Century 21.  S'il ne saurait être confondu avec le géant de l'immobilier, ce grand magasin de la pointe sud de Manhattan est célèbre depuis qu'il a été soufflé avec le reste du quartier un certain 11 septembre 2001. Et  plus encore après que l'on ait vu une Carrie Bradshaw fauchée y chercher fiévreusement une robe de créateur. Reconstruit en plus moderne sur les lieux de l'ancien magasin, Century 21 est une étape incontournable de toute shopping addict digne de cette qualification. Je me souviens encore de la mine béate d'une copine venue me rendre visite, lorsqu'elle a déplié ses draps de bain Ralph Lauren et j'y ai moi-même dégoté une paire de lunettes de soleil Jean-Paul Gaultier pour un peu plus de 40$ il y a quelques années (OK, normalement, elles étaient pour enfants mais bon, elles m'allaient super bien). Et puis, une expédition Century 21 peut facilement se combler avec la visite de la lente reconstruction de Ground zéro et même de la statue de la Liberté, puisque Battery Park d'où partent les Ferry, c'est à quelques pâtés de maison (blocks comme ils disent là bas).

Daffy's. Bon Ok, question marques prestigieuses, c'est un ton en dessous de Century 21. Mais pour les petites bourses, Daffy's une vraie aubaine. En août comme sur le reste de l'île, les 2èmes et 3èmes démarques se multiplient et on peut dégoter des articles pour la moitié du prix boutique, parfois moins. Fringues et chaussures occupent la majeure partie des 5 ou 6 étages (ou 7 je ne me souviens pas bien) du magasin, mais il y a aussi des trucs pour la maison, bougie, papeterie etc... La bonne nouvelle est que la tradition « manhattanienne » du commerce de proximité pousse les grandes enseignes à être présentes partout sur l'île qui s'étire en longueur. Il n'y a donc non pas un mais huit Daffy's rien que dans Manhattan.


TJMaxx, Marshalls. Question de place, ces trois grandes enseignes du label discounté ont longtemps été absentes de Manhattan. Mais la construction de nouveaux centre commerciaux a permis de retrouver deux des enseignes incontournables des chineuses made in USA. Mention spéciale à TJMaxx (4 magasins dans Manhattan) pour les bagages avec un rapport qualité-prix alléchant. Mais pour le reste pas de règles, il faut fouiner. Et si l'on a pas trouvé son bonheur chez TJMaxx, l'article miracle est probablement chez Marshalls (620 Ave of Americas, New York, NY 10011).

Dans le volume 2, je vous parlerai d'une petite enseigne qui rappelle une marque européenne familière, vous recommanderai une pause nature saveur, avant le pélerinage indispensensable de toute "shoppeuse in the city".

19/07/2012

Cinq façons de claquer la porte au temps pourri



Il fait gris, froid et il pleut dehors en plein mois de juillet et vous en avez ras le bol. Vous n'êtes pas encore parti en vacances ou vous avez optez pour les îles anglo-normandes plutôt qu'Ibiza et vous vous en mordez le tube d'écran total. Voici quelques pistes pour oublier que le soleil nous a posé un lapin.

Contempler la nature dans toute sa splendeur. Souvenez-vous du printemps dernier, avec la sécheresse les espaces verts avaient tourné à la Savane africaine. 2012 en revanche donne l'impression que la région parisienne (et certainement plein d'autres coins de France où je n'ai pas eu la chance de me rendre récemment) ont été fusionnés avec la Normandie. Ecrin de verdure, forêt d'émeraude, respirons un grand coup et profitons de la touche verte de thérapie des couleurs.

Vider vos placards et votre cave. Normalement, cela s'appelle nettoyage de printemps, mais comme le ciel dehors hésite entre les giboulées de mars et la fraîcheur humide et le ciel gris d'avril, vous pouvez toujours aller exhumer ce qui a échappé à votre férule il y a quatre ou cinq mois. Vous pouvez faire une bonne action en offrant à Emmaus ou une association du même type  ce que vous n'utilisez plus mais qui fera peut-être le bonheur de quelqu'un d'autre. Ou d'une façon plus radicale (et rentable), vous pouvez prendre un stand dans une brocante ou un vide-grenier. Même en cette période estivale, ils ne manquent pas, comme le montre une large sélection sur ce site.


Découvrir un nouvelle série TV. OK, les programmes de TV en ce moment, ce n'est pas l'extase pour les sérivores dans mon genre, même au niveau des rediffusions. C'est le moment de vous faire un petit plaisir en découvrant grâce à un coffret dont vous vous serez fait cadeau où que vous aurez emprunté à une copine, une nouvelle série qui ne demande qu'à vous séduire. Si le fantastique vous attire et que vous avez raté Heroes, Life On Mars ou Flashforward, faites connaissance avec ces fictions trop vite disparues, comme Dollhouse d'ailleurs. Toujours en cours, Glee pétille comme un karaoke qui s'invite dans votre salon, rien de tel pour le moral et évidemment si vous étiez en voyage d'affaire sur Pluton depuis quatre ans, le cultissime Mad Men. Je pourrais continuer pendant des heures (et j'en remettrai peut-être une petite couche la semaine prochaine si le soleil ne s'installe pas), mais vous pouvez également faire votre shopping et trouver la ou les séries auxquelles vous convertir sur la boîte à séries. Bien informé et pertinent.


Se lancer dans la cosmétique maison. Fabriquer ses produits de beauté soi-même, c'est plus facile que l'on croit, souvent pas cher et ça apporte beaucoup de satisfactions. Pour débuter, on peut s'offrir un kit tout fait sur my cosmetik. Lorsque vous vous sentirez prête à doser les produits vous-même, Aroma-zone offre un grand choix d'ingrédients et un bon rapport qualité prix Et si vous avez la chance d'habiter dans une région où ils ont une boutique, vous pouvez également vous inscrire à un atelier pour apprendre les rudiments de la cosméto-maison.


Si rien de tout cela ne vous a redonné le sourire, vous pouvez vous offrir une petite paire de lunettes roses pour tenir le coup jusqu'à l'automne.

17/02/2012

Le kundalini yoga, ou l'énergie et la sérénité au quotidien

Entre deux volumes de la série des « Temple » de Christopher Penczak, j'ai eu envie d'approfondir mon expérience du yoga, que je pratique depuis une douzaine d'années, en me plongeant dans Kundalini Yoga, the flow of eternal power. Le déclencheur a été la lecture et pratique de Prometheus rising, l'ouvrage phare de Robert Anton Wilson, qui évoque à maintes reprises la pratique et la philosophie du Yoga Kundalini
comme un facteur d'éveil à des niveaux de conscience plus avancés dans notre évolution.
 
Loin d'un classique manuel de yoga décrivant et illustrant les différentes asanas (postures), Kundalini Yoga, l'ouvrage de Shakti Parwha Kaur Khalsa est plutôt une introduction au mode de vie yogi. La première partie enseigne la philosophie du yoga kundalini selon son maître Yogi Bhajan, à travers les différents aspects de la vie courante stress, alimentation, sommeil, bonnes et mauvaises habitudes, communication et guérison. La seconde partie du livre est plus méthodique et totalement pratique en proposant respirations, mantras, méditations qui viennent stimuler ou réguler nos courants énergétiques.


Ce n'est ni didactique ni ennuyeux, ni et même si je ne me sens pas toujours en osmose avec les philosophies orientales, ce livre m'a parlé et poussée à pratiquer quelquies bouchées quotidiennes de cette façon d'aborder le quotidien. En résumé, kundalini Yoga ne s'absorbe pas comme un médicament contre la grippe, même s'il est efficace, mais plutôt comme un bon petit plat dont les saveurs variés et subtiles vous remettent d'aplomb et vous redonnent goût à la vie après un refroidissement hivernal.