Il a fallu du temps, mais le soleil de juillet-août a finalement fait son œuvre. Les légumes se multiplient et les tomates sont particulièrement abondantes. Petit clin d'oeil à mère nature, la terrasse et les jardinières dans lesquelles j'ai placé mes plants en surplus sont aussi voire plus productives que le carré (rectangle) dévolu aux tomates dans le potager. C'est une véritable petite jungle chargée de fruits prometteurs qui s'est développée, que je contiens tant bien que mal avec des tuteurs. Histoire que les tomates folles n'écrasent ni mes framboisiers ni ma sauge.
Maintenant, il ne reste qu'à espérer que l'automne sera doux et ensoleillé pour profiter pleinement de cette récolte dans laquelle je croque depuis déjà plusieurs semaines, tout en prenant bien soin de récolter les précieuses graines pour les semis de l'hiver prochain et d'éventuels trocs avec d'autres jardiniers.
Comme j'ai évidemment planté plusieurs espèces, la difficulté consiste à ne pas les mélanger. Rien ne ressemble plus à une graine de tomate qu'une autre, même si avec un peu de pratique, j'ai remarqué que les graines de tomates noires étaient plutôt vertes et celles de tomates rouges. Mais il y a aussi les tomates cerises, les tomates ananas... Vous m'avez comprise. Je place donc généralement le sachet correspondant sur la petite piscine personnelle des graines, pendant qu'elles font trempette. Plus fiable que ma mémoire !
Tomate noire, à point pour la consommation |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire