Ouvrir un restaurant bio et crudivore il y a dix ans, il fallait oser. Ou être un(e) visionnaire. C'est le cas de Lawrence Aboucaya, ancienne journaliste mode déco et « maman » de ce lieu pionnier en matière d'alimentation crue, énergétique et bio. Avant de servir des repas, le pousse-pousse en vendait les ingrédients, façon épicerie spécialisée. L'établissement fait aujourd'hui les deux et même plus. Et ça marche.
Ambiance. Lorsque j'ai testé le Pousse-pousse, c'était encore un mini lieu maxi cosy. Avec les inconvénients mais aussi les avantages que cela implique : établissement façon maison de poupées, mais service personnalisé et papote avec la responsable autour du lieu, de son histoire et des saveurs. Et pour celles et ceux qui ont la chance d'habiter dans le quartier, à défaut d'une table dégustation il y a toujours la vente à emporter et l'épicerie mais aussi les ateliers cuisine.
Assiette. Deux chefs officient dans les cuisines du pousse-pousse. L'un est Marocain, l'autre Californien. Ils auraient pu ne partager qu'un goût pour l'ensoleillement maximum, mais ils sont régulièrement pris en flagrant délit de fusion culinaire par les gourmets qui mordent dans leurs créations. Le résultat est une farandole de saveurs subtiles, entre graines germées croquantes, épices enivrantes et crudités insolites.
Ce qu'Alain Ducasse en a pensé. Voir le big big chef s'installer dans son restau, ça doit filer une sacré frousse. Mais lorsqu'il aime c'est tout bénef pour l'établissement concerné! Et il se trouve que monsieur Ducasse a adoubé le pousse-pousse (avec une mention spéciale pour le gâteau au chocolat cru) au point d'inviter Laurence Aboucaya à officier dans le sien au Plaza Athénée.
Le pousse-pousse ses murs. Ainsi que je le laissait entendre plus haut, la petite adresse saveur du 7 rue notre dame de Lorette, n'est plus si petite. Porté par son succès, le restaurant a investi l'espace voisin, le 5, passant d'une quinzaine à une quarantaine de couverts au mois d'avoir. Sans avoir besoin de déménager. Et maintenant, on n'a plus aucune crainte de se voir piquer toutes les tables si on partage l'adresse!
Ambiance. Lorsque j'ai testé le Pousse-pousse, c'était encore un mini lieu maxi cosy. Avec les inconvénients mais aussi les avantages que cela implique : établissement façon maison de poupées, mais service personnalisé et papote avec la responsable autour du lieu, de son histoire et des saveurs. Et pour celles et ceux qui ont la chance d'habiter dans le quartier, à défaut d'une table dégustation il y a toujours la vente à emporter et l'épicerie mais aussi les ateliers cuisine.
Assiette. Deux chefs officient dans les cuisines du pousse-pousse. L'un est Marocain, l'autre Californien. Ils auraient pu ne partager qu'un goût pour l'ensoleillement maximum, mais ils sont régulièrement pris en flagrant délit de fusion culinaire par les gourmets qui mordent dans leurs créations. Le résultat est une farandole de saveurs subtiles, entre graines germées croquantes, épices enivrantes et crudités insolites.
Ce qu'Alain Ducasse en a pensé. Voir le big big chef s'installer dans son restau, ça doit filer une sacré frousse. Mais lorsqu'il aime c'est tout bénef pour l'établissement concerné! Et il se trouve que monsieur Ducasse a adoubé le pousse-pousse (avec une mention spéciale pour le gâteau au chocolat cru) au point d'inviter Laurence Aboucaya à officier dans le sien au Plaza Athénée.
Le pousse-pousse ses murs. Ainsi que je le laissait entendre plus haut, la petite adresse saveur du 7 rue notre dame de Lorette, n'est plus si petite. Porté par son succès, le restaurant a investi l'espace voisin, le 5, passant d'une quinzaine à une quarantaine de couverts au mois d'avoir. Sans avoir besoin de déménager. Et maintenant, on n'a plus aucune crainte de se voir piquer toutes les tables si on partage l'adresse!
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